«Rien ne se perd rien ne se crée tout se transforme»
«Rien ne se perd rien ne se crée tout se transforme»
«Rien ne se perd rien ne se crée tout se transforme» selon M. Antoine Lavoisier (1743 -1794). Pour ma part, la transformation vient créer une nouvelle version de quelque chose. Lorsque j’ai suggéré comme dans le cas d’un cancer du col de l’utérus, qu’une lumière blanche aspire le non-amour des cellules cancéreuses, il y eut une transformation, une création de nouvelles cellules saines. En l’espace de quelques semaines, la tumeur avait disparu.
Cette transformation va bien au-delà de l’aspect physique de M. Lavoisier. Elle était voulue par la pensée. La nouvelle information qui consistait d’une façon allégorique à rétablir l’homéostasie était à mon sens non simplement inscrite dans la cellule, mais dans l’énergie qui maintient les cellules en place, dans cet éther dont je parlerai ultérieurement. Ce changement a été enregistré au plan de la structure énergétique et c’est la raison pour laquelle une fois la tumeur disparue, elle n’est jamais revenue. Toutes les nouvelles cellules répondaient aux changements demandés préalablement. Ce changement avait une nouvelle résonance énergétique qui influença tous les systèmes que ce soit endocrinien, hormonal, organique, etc. comme si toutes les cellules faisaient un tout en équilibre. Elles avaient la compréhension de leurs rôles dans un tout, sans en être séparées. Afin de soutenir mon cheminement, je vous partage ci-dessous, à titre de réflexion, un extrait de texte tirés d’un article scientifique faisant référence aux recherches des physiciens Alain Aspect.
A l’Université de Paris une équipe de recherche conduite par le physicien Alain Aspect (né en 1947, professeur à l’École Polytechnique) a fait une découverte majeure, probablement la plus étonnante du XXème siècle. Le physicien Alain Aspect a démontré que les particules subatomiques, comme des électrons, ne sont pas des éléments séparés mais en fait sont des aspects d’un ensemble extrêmement vaste qui leur permet de se manifester de manière corrélée, quelque soit la distance qui semble les séparer, qu’il s’agisse deux centimètres ou de deux années-lumière.
De nombreux physiciens se sont mis en quête d’explications pouvant soutenir cette découverte. Basil Hiley, qui travaille au Birbeck College, a déclaré au sujet des découvertes de Alain Aspect … ” elles indiquent que nous devons nous préparer à envisager une approche radicalement différente de la réalité.”