Histoire de cas du psoriasis

Histoire de cas du psoriasis

Si vous le voulez bien, nous attribuerons un nom fictif à la personne impliquée dans la démarche afin d’en préserver  l’anonymat.  Nous sommes donc en présence de René, homme dans la quarantaine, souffrant de psoriasis aux coudes et genoux. Il est considéré comme présentant un tempérament nerveux dans le cadre des profils d’Hippocrate.

Depuis maintenant plus de vingt-quatre mois, le diagnostic est tombé. De la crème à base de dermocorticoïdes lui  fut prescrite et une certaine amélioration fut ainsi remarquée. René n’est pas entièrement  satisfait de sa situation de santé. Aussi, ayant entendu parler de la part d’un autre patient des bons résultats que ce dernier avait obtenu suite à une démarche avec moi,  cela l’incita à me consulter.

Lors de la première rencontre, nous installons un signe-signal qui est un geste tel le pouce et l’index qui se touchent ensemble. Nous associons ce geste à un état de détente, ce qui devrait permettre  de diminuer les moments de nervosité. Comme René est d’un tempérament nerveux, cet outil lui servira toute sa vie. En ce qui nous concerne, le but est de fournir une occasion à René de mieux se détendre pour visualiser que le psoriasis régresse jusqu’à disparaître définitivement. Afin de  l’aider, je vais me servir de la technique du travail d’à côté. Cette façon de procéder fait également partie de l’algorithme de l’atelier Communication cellulaire par la pensée  qui peut être suivi en présentiel ou en vidéo tutoriel au centre de recherche EMC.

Sommairement, la technique consiste à dessiner sur une feuille le psoriasis. René dessine à sa façon ce qui lui semble bien représenter sa problématique de santé. Le tout est fait au crayon de plomb. Je demande à René d’effacer une partie du psoriasis à son rythme. Il peut gommer un centimètre ou plus chaque jour. Il se doit d’être en contact avec l’image pendant cinq minutes. Une fois le dessin du psoriasis effacé, René devait rester en contact avec la feuille vierge pendant cinq minutes par jour, le temps de permettre à son subconscient de réaliser que le travail était terminé.

Après plus de trois semaines de traitement en visualisation auquel  avaient été associés le travail d’à côté ainsi que la poursuite de l’application régulière  de la crème à base de dermocorticoïdes, le psoriasis avait complètement  disparu. Cette façon de procéder est une communication cellulaire par la pensée. Il me fera plaisir ultérieurement  de partager d’autres histoires de cas au sein desquelles la pensée a influencé les cellules.

 À la prochaine.

Normand Sévigny n.d